Je parle peu de Tunis, et pourtant, c'est une ville que j’adore entre toutes. Elle reste humaine malgré une effervescence étonnante.
Mais à Tunis, il y a aussi la Médina. Elle me passionne comme me passionnent toutes les médinas.
Le labyrinthe de leurs ruelles, leurs vieilles maisons aux portes parfois somptueuses, tout est matière à me plonger au centre de contes faits pour moi, de mes promesses d'Orient.
Chaque demeure est fermée sur un mystère et chacune d’elles me force à imaginer quel serait le mien à l’intérieur du patio qu’elle ceinture.
Ah... l’arrogance des colonies ! (même quand ça s'appelle "protectorat)
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