
Mais un sourire, mais des yeux aux frontières des actes sont souvent plus chauds et plus noirs que toutes les alcôves.
Faut-il penser que si peu remplacerait l’intime ?

J'écoute simplement mon instinct qui sait se contenter du plongeon dans l’eau fraîche d’un regard et s’en éclabousser.
L’odeur des petits matins et la sueur des longues nuits sont tant de fois des entractes incertains dans des chambres imprécises... des entractes qui vous brisent le coeur avant même la reprise du spectacle.
Des vaisseaux étroits pour voyages bien trop grands.
Des souvenirs finis, des ébauches de rien...

Alors, sur mon pont des arts, nul besoin de guetter l'horizon.
Nul besoin de s'attacher les heures.
C'est assez d'avoir eu l’arc de ses lèvres et la flèche du temps au cadran de son bras.
commentaires
Henri-Pierre 03/07/2008 22:09
Michel Giliberti 04/07/2008 14:54
Musiques arabes 27/06/2008 23:50
Michel Giliberti 03/07/2008 08:18
*MeL* 17/06/2008 16:16
Michel Giliberti 17/06/2008 19:45
*MeL* 17/06/2008 00:27
Michel Giliberti 17/06/2008 06:37
*MeL* 16/06/2008 22:32
Michel Giliberti 16/06/2008 22:49
*MeL* 16/06/2008 22:28
Michel Giliberti 16/06/2008 22:45
Chris-Tian Vidal 16/06/2008 17:12
Michel Giliberti 16/06/2008 22:40
Maryse 16/06/2008 13:29
Michel Giliberti 16/06/2008 16:54
François 16/06/2008 11:00
Michel Giliberti 16/06/2008 17:00
gazou 16/06/2008 09:10
Michel Giliberti 16/06/2008 17:02