
À deux ou trois rides d’une mer terre, dans les villes de craie qui se taisent sous le soleil, les hommes qui vous donnent, sont ceux qui nomment vos espoirs.
Il n’est pas rare, à l’heure de la sieste, de rêver à de ferventes complicités et passé minuit les vivre dans des nuits blanches.
Toutes les impatiences se valent et les envols se meurent de nous, responsables des clôtures de nos vies.
Enfant, pendant les vacances, je lavais, à la pierre lisse des fleuves corses, le linge avec ma mère…
Je garde de ces rares instants de jeu dans l’eau nue, comme je l'étais, l’amour des choses simples comme les mots que je partage avec ces hommes là, à deux ou trois rides d’une mer terre dans les villes de craie qui se livrent sous le soleil,

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bellelurette 23/11/2007 08:02
Michel 23/11/2007 08:16
bellelurette 22/11/2007 08:59
Michel 22/11/2007 09:10
Barbarette 22/11/2007 00:56
Michel 22/11/2007 08:09
tryskel 21/11/2007 06:27
Michel 21/11/2007 08:06
Joëlle 20/11/2007 17:16
Michel 20/11/2007 17:32
Eric 20/11/2007 10:28
Michel 20/11/2007 11:35
Benjamin 19/11/2007 23:56
Michel 20/11/2007 08:51
Henri-Pierre 19/11/2007 23:45
Michel 20/11/2007 08:44
Maryse 19/11/2007 22:34
Michel 20/11/2007 08:34
P'tit Bob 19/11/2007 21:36
Michel 20/11/2007 08:27