
Vous êtes là, derrière lui, près de la cheminée, un alcool fort entre les mains, à l'écouter.
Le feu incendie sa peau, trop de chaleur.
Les quelques notes de gris métal s'arrêtent sur un accord, et la guitare se tait, posée contre le mur.
Son pull glisse à terre et puis le reste...
Et puis... sa peau !

Vous le contemplez au coeur des ombres vives et rousses comme cette nuit d'automne qui vient et puis s’installe.
Demain les labours reprendront et avec eux la valse des étourneaux comme des taches d'encre dans un ciel de buvard.
Vous serrez davantage votre verre entre les doigts ; la gorge sèche, vous vous dites : « Et maintenant ? »
commentaires
cath 05/12/2007 09:42
cath 02/12/2007 21:28
Michel 02/12/2007 21:43
cath 02/12/2007 14:26
Michel 02/12/2007 14:36
Morad 14/11/2007 16:17
Michel 14/11/2007 16:29
Inès 14/11/2007 14:55
Michel 14/11/2007 15:16
bellelurette 14/11/2007 08:58
Michel 14/11/2007 10:39
Maryse 14/11/2007 08:52
Michel 14/11/2007 10:36
tryskel 13/11/2007 22:23
Michel 13/11/2007 22:36
Henri-Pierre 13/11/2007 19:38
Michel 13/11/2007 19:52