Merci à Kamel pour cette musique.
Déjà, je m’enlève un pull ; déjà je balance mon blouson et voilà…

Et maintenant les dromadaires facétieux…

Celui-là je l’ai aimé particulièrement. Il était un peu efféminé… si, si, je l'affirme ! D'ailleurs, il avait un piercing à la narine et il tournait autour de moi en grinçant des dents… (Ce qui ne veut pas dire pour autant que je lui plaisais, j’ai pas assez roulé ma bosse…) mais allez savoir !

La fin de la journée. La chaleur est encore intacte... Les enfants s'occupent des dromadaires qui rentrent de leur périple.

Ces derniers se reposent comme nos moutons ou nos vaches, sauf, qu'un bruit très particulier circule dans l'air empli de leur odeur... leurs grincements de dents.

C'est un moment paisible où les animaux et les hommes communient ensemble. C'est l'heure des blagues et des sourires et quand je regarde ces deux chameliers-là, je me dis que ça pourrait bien être Jean-Charles et moi...

... et devant nous, la sublime image des premières dunes de sable à quelques kilomètres de l'oasis, le sable qui se glisse jusque dans les petits villages et masquent les routes.
Nous sommes au sud de Douz, aux portes du désert... Aux portes du Sahara.
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