
Abruti des sambas
Du carême naissant
Quand, au coeur des surdos
Un soleil satin noir
Sous l’or blanc de ses yeux
Se plaqua sur mon corps
Et me fit à sa bouche
Boire de la cachaça.
Puis ses gestes de fou
Enfiévrés des bandas
M’obligèrent à l’ardeur
Que l’alcool distillait
Comme au temps des esclaves
Mais devant cet Orphée
Au centre de l’enfer
J’ai fui comme Eurydice
Avant même d'en sortir.







commentaires
SENOUSSI Sadok 05/09/2011 16:34
Michel Giliberti 05/09/2011 16:38
Henri-Pierre 10/10/2007 21:19
Michel 10/10/2007 22:02
PETITE MOMIE 08/10/2007 14:53
Michel 08/10/2007 15:03
Maryse 08/10/2007 10:00
Michel 08/10/2007 10:54
François 07/10/2007 21:01
Michel 08/10/2007 08:33