
Je glisse et m’enlise
Dans ton secret le moins lisse,
Je vais et balise
Tes ardeurs que je palisse.
Ta peau sous mes mains
Que la nuit masque et désarme
Jusqu’au lendemain
Se rebelle et puis m’alarme.
Si sombres mes cernes
Azurés comme la mer
Sont là qui te cernent
De mes jouissances amères.
J’irise et j’inonde
L'antre de ta parole
Qui souffre et qui gronde
De ce transit qui l’affole.
Je tombe et m’enterre
Contre toi et te respire,
Quand se désaltère
Ta bouche dans un soupir.
Puis je me retire
Pour enfin te regarder
Sourire et me dire
Que tu voudrais bien fumer.
© Giliberti / 2007

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ENIGMA 29/05/2009 21:56
Michel Giliberti 30/05/2009 08:01
Nath 16/09/2007 11:30
Michel 16/09/2007 14:00
petitfred 13/09/2007 20:59
Michel 14/09/2007 07:32
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pons 13/09/2007 00:23
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pons 13/09/2007 00:03
Michel 13/09/2007 06:57
Faux rêveur 12/09/2007 21:00
Michel 12/09/2007 21:47